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  JEREMY CHAMOT ROSSI

Burj Al-Babas

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Burj Al-Babas devait compter plus de 700 châteaux et un centre commercial à destination d’investisseurs du Golfe (Koweït, Bahreïn, Oman, le Qatar, l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis...)

A Mudurnu la ville thermale en Turquie, on peut trouver des centaines de châteaux inachevés alignés, laissés à l'abandon, Ce projet de 200 millions de dollars à été lancé en 2014 par la société Sarot, un groupe Turc,la moitié des châteaux sont vendus à l'avance.
Plusieurs autre lotissements dans la région sont dans le même états.

Mais en 2018 la crise économique du pays, la chute du prix du pétrole, suivi de la crise covid-19 ont stoppés net les investissements et la poursuite des travaux.

Les investisseurs, trop impactés par la chute du cours du pétrole n'ont pas pu payer leurs dettes, provoquant l'annulation des ventes et la faillite du promoteur.




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Destiné à de riches acheteurs étrangers, les châteaux de luxe quasi identiques devaient se composer de 4 niveaux avec un toit-terrasse et un sous sol avec piscine, alimenté par les sources d’eau chaude de la région pour chauffer les habitations.

On peut trouver entre 400 000 et 500 000 dollars la villa.
Le projet devait ce composer d'un centre commercial, de terrains de sport, plusieurs jardins.
Sur les plus 300 villas construitent à ce jour, aucunes n’est achevées, à l'exceptions d'une qui sert de témoin.



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